De nombreuses histoires et mythes englobent ces arbres, qui auraient paraît-il été protégés par les moines de l’Abbaye de Saint Basle durant de nombreux siècles jusqu’à la révolution.
L’emplacement des faux correspondrait au jardin de cette abbaye.
De nombreuses études ont essayé d’expliquer cette mutation génétique mais ce phénomène reste toujours une énigme pour la science.
Cette rareté de la nature est fragile est aujourd’hui protégée et se situe dans un site classé depuis 1932, réserve biologique depuis 1981.